controvertia
Friday, August 18, 2006
Thursday, August 17, 2006
Muchas gracias
Sur le même air que ceci et afin de rétablir l'équilibre:Pour avoir délivré Cuba de la domination impérialiste, pour avoir écrasé la vermine contre-révolutionnaire, pour avoir instauré un socialisme authentique, pour avoir rendu aux damnés de la terre la dignité que les hyènes capitalistes leur avaient volée, merci, merci Fidel.
Tuesday, July 18, 2006
Les critères de Couhoulinn
Couhoulinn revient sur la fameuse affaire de la "souillure" qui lui avait valu d'être banni pour une semaine du forum des Pères Fondateurs.Le blogueur, qui se pose en victime de "fouille-merde dont l’esprit, ou ce qui y ressemble, est aussi tordu que celui des rédacteurs de la Pravda", met les choses au point: ce n'est pas parce qu'elle est maghrébine que Assia Djebar "souille" la noble institution du Quai Conti, seuls des "cons" peuvent penser une chose pareille. Les "moins-cons" parmi lesquels Couhoulinn,"n’en ont que faire de la couleur de peau du nouvel Immortel : ils lisent ce qu’il a écrit et écoutent ce qu’il dit pour juger. Par exemple, le discours que cette femme a tenu lors de la reception de son “prix de la Paix” (tout un programme) en 2000. On constate que ce texte est saturé d’idéologie, d’approximations historiques, d’oublis voulus, de lacunes, … et l’on découvre une progressiste, dévouée à la cause féministe et à un anticolonialisme qui n’est plus de ce temps excepté pour ceux dont la vengeance est leur moteur, qu’elle est proche des socialistes qui lui ont déjà donné un travail de propagande dans le passé.
Bref, si les "cons" jugent un écrivain sur son appartenance ethnique, les "moins cons" eux préfèrent se baser sur ses accointances idéologiques et politiques. L'oeuvre de Mme Djebar, ses romans, ses essais, son théâtre, ses films? Couhoulinn n'en souffle mot, on se demande même s'il la connait; mais il sait d'elle tout ce qu'il a besoin de savoir, c'est-à-dire qu'elle n'est pas dans son camp. C'est bien suffisant pour condamner une "Goebbels socialiste".
Wednesday, June 28, 2006
Saint Lafronde, patron des causes désespérantes
Après avoir pris la défense d'une adepte de la préférence nationale, Lafronde vole maintenant au secours de Couhoulinn, banni pendant une semaine du forum des Pères Fondateurs pour avoir traité la nouvelle académicienne Assia Djebar de souillure."Flou? Vous avez dit flou?" Pourra t-il disposer d'un droit de réponse? C'est un membre important de ce forum, je crois qu'il le mérite."
Un "membre important"* du forum mais surtout l'un des rédacteurs du blog "La Résistance" animé par... Lafronde. La réponse des modos, par la voix de Raging Bender ne se fait pas attendre:
"Ca n'a rien de flou. Je crois que ses mots exacts ont été "Y a-t-il une institution française qui ne soit pas souillée?". S'il n'est pas capable de trouver les mots justes pour exprimer sa pensée, nous n'y pouvons rien.
Mais Lafronde s'obstine:
"Je n'ai pas retrouvé le fil en question donc je ne pourrais pas en dire plus. A t-il été supprimé? C'est regrettable."
Et Raging Bender, visiblement agaçé, de clore le débat, pour l'instant du moins:
"Il a effectivement été supprimé.
Eh oui, il y a des limites chez les Pères Fondateurs. Espérons qu'elles s'accompagnent bientôt de
* Par le nombre de messages?
But!
Lafronde salue comme il se doit la victoire des Bleus contre l'Espagne, et cite Laure Conan: "Le patriotisme, qui fait les grands hommes, fait aussi les grands prodiges". On se demande ce que pense de ces "patriotes" la charmante Huguette, qui "se sent mieux avec des gens de sa couleur" et dont Lafronde a récemment fait l'une de ses icônes?Tuesday, June 27, 2006
Modération sans pitié
Ca ne rigole pas chez les Pères Fondateurs. Pour avoir dit que l'Académie Française s'était "souillée" en élisant une maghrébine (la romancière Assia Djebar) Couhoulinn s'est attiré la colère des modérateurs. Il est donc exclu... pour une semaine. Ouch.Update: Couhoulinn le prend mal: "Je prends une semaine de vacances, j’y ai été contraint. On répond pas à mes emails et on me fait dire ce que je n’ai pas dit. J’apprécie peu."